Sur mon compte Instagram (@marine.books), je partage ma vie de lectrice, mes coups de cĆur littĂ©raires, les livres que je lis en un rien de temps, ceux que jâabandonne au bout de quelques pages, ceux que jâachĂšte sur un coup de tĂȘte, ceux que jâemprunte et puis ceux que je ne lirai jamais. Des lectures variĂ©es pour ĂȘtre transportĂ©e, pour pleurer, rire ou ĂȘtre déçue. Aujourd’hui, j’ai lu « Vint-Quatre heures de la vie d’une femme » de Stefan Zweig.
Jâai littĂ©ralement dĂ©vorĂ© cette nouvelle de Stefan Zweig qui est un vĂ©ritable bijou. Dans un casino, on vit le coup de foudre d’une femme pour un inconnu en dĂ©tresse quâelle veut sauver. Longtemps aprĂšs, cette rencontre que la femme nâa jamais racontĂ© fait Ă©cho Ă un Ă©vĂšnement que le narrateur et cette derniĂšre sont en train de vivre dans leur hĂŽtel sur la Riviera.
Dans lâensemble, jâai beaucoup apprĂ©ciĂ© cette nouvelle pour son atmosphĂšre, son humanisme et ce quâelle met en scĂšne : une rencontre fortuite, peut-ĂȘtre provoquĂ©e par le destin, peut-ĂȘtre par autre chose et qui change une vie entiĂšre. Mais mon passage prĂ©fĂ©rĂ© de cette nouvelle est sans aucun doute la premiĂšre scĂšne du jeu au casino, la premiĂšre rencontre entre la femme et lâinconnu. Est-il possible de faire de plus belles descriptions des mains ?
âïž Note : 08/10